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NOTRE HISTOIRE

LE PARI D'UN FESTIVAL  INSOLITE !

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Hayette-Fellah-François-Gautret

le duo

François & Hayette

Dans les années 80, Sydney devient le premier animateur noir à la télévision française avec l’émission HIP HOP sur TF1. En parallèle, aux États-Unis, Spike Lee impose un nouveau regard, radical et nécessaire, avec Do the Right Thing. Pendant ce temps, en France, l’image des quartiers peine encore à trouver sa place sur les écrans.

Quelques années plus tard, blessé en pleine ascension dans le monde du breaking, François Gautret prend la caméra pour documenter l’underground hip-hop de son quartier. Ses films bruts, diffusés sur Zalea TV, remportent des prix à l’étranger… mais en France, rares sont les chaînes qui acceptent ce regard.

C’est en 2005 qu’il fonde, aux côtés de Hayette Fellah, Directrice de RStyle,  l’Urban Films Festival. Ensemble, ils imaginent un lieu de diffusion, de rencontres, de luttes et d’espoir, qui devient rapidement la première tribune française consacrée au cinéma urbain.

Vingt ans plus tard

Vingt ans plus tard. Ce rêve est devenu un carrefour international du cinéma urbain.

À l’heure où Netflix, Disney ou Prime mettent en avant des récits issus de la rue, où les jeunes diffusent leurs films eux-mêmes via TikTok ou YouTube, l’UFF reste la première tribune française dédiée à ce style de cinéma qui naît de l’urgence et de la nécessité. Un cinéma qui n’a jamais cessé de porter l’énergie des quartiers, sans les réduire, en gardant son essence militante. Comme dans le film La Haine, « jusqu’ici tout va bien », le plus important n’est pas la chute, mais l’atterrissage.

Hayette-Fellah-François-Gautret-Urban-Films-Festival

MK2 Stalingrad, novembre 2005 : la rue envahit l’écran.

Tout commence au début des années 2000 avec l’émission B BOY TV et les premiers courts-métrages tournés lors de rencontres internationales. Récompensés à l’étranger mais incompris en France, nous apparaissions comme des “ovnis” dans un paysage cinématographique trop classique.

À ses débuts, le festival témoignait d’une réalité ignorée : filmer la rue, ses pratiques et ses histoires, dans un contexte où les moyens étaient rares et les regards souvent méfiants. Ce cinéma ne parlait pas de haine mais en dressait le constat, avant de s’achever sur l’amour et l’espoir.

 

François fonde RStyle en 1999 et aux côtés d’Hayette Fellah en 2005, ils organisent la toute première projection de l’Urban Films Festival. 35 films, autant de regards sur la ville : une onde de choc pour le public et la presse.

 

En octobre 2005, le MK2 Stalingrad accueille la première édition : un moment fondateur qui ouvre enfin les portes à une jeunesse jusque-là tenue à l’écart, réconciliant la rue et le cinéma. Très vite, le festival s’exporte aux quatre coins du monde et devient une référence en terme de cinéma urbain.

Première Édition,
Premier Impact
 

MK2 Stalingrad, novembre 2005 : la rue envahit l’écran.

Tout commence au début des années 2000 avec l’émission B BOY TV et les premiers courts-métrages tournés lors de rencontres internationales. Récompensés à l’étranger mais incompris en France, nous apparaissions comme des “ovnis” dans un paysage cinématographique trop classique.
 

  • À ses débuts, le festival témoignait d’une réalité ignorée : filmer la rue, ses pratiques et ses histoires, dans un contexte où les moyens étaient rares et les regards souvent méfiants. Ce cinéma ne parlait pas de haine mais en dressait le constat, avant de s’achever sur l’amour et l’espoir.
     

    Aux côtés d’Hayette Fellah, François fonde RStyle et organise la toute première projection de l’Urban Films Festival. 35 films, autant de regards sur la ville : une onde de choc pour le public et la presse.
     

    En novembre 2005, le MK2 Stalingrad accueille la première édition : un moment fondateur qui ouvre enfin les portes à une jeunesse jusque-là tenue à l’écart, réconciliant la rue et le cinéma. Très vite, le festival s’exporte en Belgique, en Espagne, en Italie, au Canada, remportant le Prix de la francophonie et celui de l’authenticité, avant d’être invité au Hip Hop Film Festival de Los Angeles.

Du Quartier Populaire au Rayonnement International

Fidèle à ses racines, l’UFF crée des passerelles entre générations, quartiers et horizons.

Vingt ans plus tard, l’accessibilité technologique a ouvert la caméra à tous : filmer n’est plus un privilège, mais une possibilité pour chacun. L’UFF a suivi cette évolution en se transformant : il n’est plus seulement un lieu de projections, mais une véritable plateforme d’expérimentation. Entre spectacles hybrides, cinéma immersif et performances inédites comme le Hip Hop Show 360, le festival explore de nouvelles façons de vivre et partager le cinéma urbain, toujours en résonance avec son époque.

 

Mais l’UFF n’oublie pas ses racines : il continue de projeter dans les quartiers populaires, au 104 ou en plein air, pour changer les mentalités sans jamais réduire la rue à un “ailleurs”. Ici, pas de hiérarchie : les quartiers restent au centre. Le festival agit comme un pont entre univers sociaux et artistiques, reliant le monde professionnel du cinéma et les créateurs semi-pro ou autodidactes.


Grâce à ses partenariats stratégiques (DRAC Île-de-France, Conseil Départemental 93, Netflix), son rayonnement s’étend à l’international, de Montréal à Nouméa, de Los Angeles à Paris : mais sa mission reste la même depuis le premier jour, donner à voir, à comprendre et à transmettre le cinéma urbain, partout et pour tous.

LA MISSION du Festival : Rêver et Transmettre

Plus qu’un concours, un laboratoire vivant des cultures de la rue et du cinéma de demain.

De conservatoire, l’UFF est devenu une plateforme tournée vers l’avenir :
 

  • Expérimenter les nouvelles écritures et formes hybrides du cinéma,
     

  • Transmettre vingt ans d’archives aux générations futures,
     

  • Propulser chaque année 30 nouveaux talents vers la lumière,
     

  • Réinventer le rapport au cinéma urbain pour qu’il reste un espace de création libre, poétique et audacieux.

L’UFF n’est plus seulement un lieu de projection : il est un moteur d’innovation et de transmission, toujours en mouvement.

Hip-Hop-360-Show-Urban-Films-Festival

ANIMATION - DOCUMENTAIRE - FICTION - LONG-MÉTRAGE - PERFORMANCE - CLIP

POUR REFLÉTER

La diversité de  la ville

PROJECTION

20 ANS

EN CHIFFRE

+6000

Court  métrage

+150

Lauréats

+100

Lieux

+100

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